L’oeil de Marick

Depuis son premier 6×9, suivi par son Rolleiflex , son Leica, les premiers numériques, elle ne quitte plus son Iphone qui permet mieux la  » photographie instantanée  »

Peu importe les moyens, au cours de ses balades elle fixe des détails de la vie ordinaire où la lumière , la matière, les reflets évoquent un monde invisible qu’elle matérialise dans ses photos. Il ne faut pas chercher un logiciel qui aurait donné vie à l’image, elle existait, il suffisait de la voir!

Photographe inclassable, sa rencontre avec Willy Ronis l’incite à persister dans le développement de son travail Noir et Blanc sans renier la couleur.

Le titre de ses images reste un lien entre la création et sa lecture, une sorte d’échange donnant au spectateur la latitude de recomposer à son tour selon son émotion. Elle choisit ses papiers et imprime elle-même ses tirages limités chacun à 30 exemplaires ce qui lui permet de maitriser sa création de A à Z .